Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une inspiration lente, une manie débarquée d’un geste traditionnel répété sans cesse. Les https://voyancegratuiteenligneimm35532.actoblog.com/34912777/les-lignes-diminués