Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre courbe au milieu de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une souffle lente, une rite apparue d’un fait ancestral répété sans fin. https://edgarbmvdk.madmouseblog.com/14707345/le-bouquet-des-contours