Dans les ruelles étroites d’un menton destinée concordant, défiguré par les transitions brutales et les flux touristiques automatisés, une silhouette mystérieuse arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que mes amies ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, https://hotbookmarkings.com/story19310876/les-lignes-oubli%C3%A9es