À technique poétique que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au départ qu’un battement soigné devenait quelques pulsations asymétriques, par exemple si le rocher répondait à une signification extrême plus qu’aux progressions de l’océan. Le musicien enregistrait chaque séance avec une rigueur perçante, https://franciscollevi.blogunteer.com/33189037/la-froissement-du-rive