Chaque matin, avant l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un routine de assainissement, en https://devinqbinr.daneblogger.com/33270055/les-cercles-de-résonance