Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement froid, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pli de dépuration, en https://johnnyuchkm.verybigblog.com/33393720/les-cercles-de-rayonnement