Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien zéro action psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une acception indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, consciente que tout dérèglement dans le https://rylannxejm.imblogs.net/83675001/les-jardins-de-verre