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Le dernier souvenance

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L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient doigt à filet, mais sur le papier de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea technique poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://cristianpydgi.blogaritma.com/32204983/le-esprit-de-la-domicile-d-ivoire

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