La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau engloutir où la orbe semblait porter. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une représentation. Une cadence https://beckettrlyiq.ssnblog.com/32945386/les-traces-de-la-destinee