La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le paysage d’une obscurité dense, uniquement brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté portrait à la lanterne, creusant le moindre frémissement de vie. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de réflexion et de brume qui se mêlaient à la https://emiliouofuj.csublogs.com/40715075/l-île-aux-tempêtes-et-à-l-oubli