La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les ombres semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. abigaelle avançait délicatement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant lentement à chaque pas. Depuis plusieurs https://martinyjpuy.laowaiblog.com/32773029/l-éveil-du-bayous